FERRARI CALIFORNIA SPYDER 2008 de RED LINE 1/43
sommaireEncore une magnifique réalisation de LOOK SMART. Cepandant la pose du toit amovible n'est pas parfaite, et contrairement a la version RED LINE, celui ci est fixe. Vous pouvez admirer les deux spyders "garés" ensemble dans l'album photos.
La vraie :
Fabriquée en série limitée à 500 exemplaires, elle sera au catalogue de Ferrari France en avril/mai 2005 à un tarif avoisinant les 250.000 €. Mais il est probable que les quelques exemplaires alloués au marché national soient déjà réservés !
Ferrari présentera au salon de Détroit en janvier 2005 la Superamerica, version découvrable de la 575 Maranello.Ce cabriolet est équipé d’un toit en verre avec la technologie électro chromatique qui permet d’en faire varier la luminosité sur 5 niveaux. Développé par le carrossier italien Fioraventi et produit par Saint Gobain, ce toit a été présenté pour la première fois à Genève en 2001 sur le concept car « Vola » d’Alfa Romeo. Il présente également la particularité d’être peu gourmand en volume une fois positionné dans le coffre. Ce système qui permet de conserver la lunette arrière dispense la mise en place d’un filet anti-remous. Rapide comme une Ferrari ce toit se déplie et se rétracte en 10 secondes !
Baptisée Superamérica en hommage aux modèles 400 et 410 de la fin des années 50, cette nouvelle Ferrari bénéficiera d’une version de 540 ch du V12 (contre 515 pour le coupé), développements fait pour la 612 Scaglietti. Elle sera proposée avec une boite manuelle à 6 rapports ou avec la boite robotisée F1. Des freins en céramique seront disponibles en option. Capable d’atteindre 320 km/h, la Ferrari Superamerica sera le cabriolet le plus rapide du monde. Il sera produit à moins de 500 exemplaires et sera vendu aux Etats-Unis pour la modique somme de 325 000 $.
On-Off, ouvert ou fermé : chez Ferrari, on ne s’empresse pas de suivre les modes et les coupés/cabriolets à toit rigide amovibles de la concurrence n’ont pas perturbé les esprits. On gardera dans la gamme de vrais coupés et des spiders avec capote. Cependant la 575 Superamerica dévoilée au Salon de Détroit montre que l’usine a fait une réelle concession en équipant son modèle cabriolet 12 cylindres d’un astucieux petit toit articulé.
A partir d’un bouton, le conducteur peut rouler à ciel ouvert en 10 secondes. Un record pour changer d’ambiance et s’adapter aux intempéries. Développé par la société Fioravanti, ce toit ne se replie pas mais effectue une rotation de 180° sur son axe pour aller reposer, à plat, derrière l’habitacle, tandis que la vitre arrière restant en place sert de coupe-vent. Ce système éclair n’a évidemment aucune incidence sur la capacité du coffre à bagages (180 dm3).
Adoptant une structure en fibre de carbone et une vitre « electrochromic » développée spécialement par Saint Gobain, ce toit exclusif permet aux occupants de contrôler la lumière entrant dans l’habitacle, un interrupteur permettant de choisir entre cinq positions, de la pénombre à la grande clarté.
Cette Superamerica également exposée au Salon de Los Angeles sur la cote Ouest des Etats Unis dérive directement de la 575 Maranello déjà en vente. Son V12 de 5.7l délivre 540 chevaux et selon le choix de l’acheteur travaille avec une boite mécanique ou un boite robotisée de type F1 avec palettes au volant. Elle est livrable avec un package de présentation sport GTC et des freins céramique/carbone.

FERRARI SUPERAMERICA de LOOK SMART au 1/43
FERRARI 250 gtoVoici la nouvelle FERRARI CALIFORNIA cabriolet signée RED LINE. C'est un très beau modèle que je viens de reçevoir de chez DAN TOYS, qui le vends en ce moment 50 euros !( Promos de juin / juillet 2009 )A ce prix, pour une dizaine d'euros de plus que la version Hot weels, il n'y a pas d'hésitation a avoir... Le modèle est très bien réalisé, l'ensemble est bien équilibré car la voiture est un peu particuliaire dans sa forme arrière. Ce modèle existe aussi dans la gamme look smart.
Cette FERRARI a été oficiellement présentée au salon de Paris en 2008. ( Voir mes photos dans la rubrique salon de Paris 2008 )
Pour la vraie :
Luca di Montezemolo, le président de Ferrari ne l’a pas caché lors d’un entretien privé au Mondial de l’automobile : la Ferrari California inaugure une nouvelle génération de Ferrari ... Premier coupé-cabriolet de la marque, premier modèle sur lequel le moteur huit cylindres est placé à l’avant, la Ferrari California emploie de nouveaux arguments pour séduire ailleurs et autrement. Sans vouloir priver ses clients de la magie d’une « bella machina », de ses performances et de son innovation, les ingénieurs de Ferrari travaillent très sérieusement sur la diminution de la consommation et sur l’abaissement des émissions de CO2.
Au-delà de l’hommage rendu à une grande classique de son histoire, Ferrari affirme sa volonté de conquérir de nouvelles frontières. L’avenir des automobiles d’exception ne se jouera pas en Europe. Depuis plusieurs années, la répartition géographique des ventes de Ferrari a été bouleversée. Si aujourd’hui la production atteint un record historique, ce n’est pas grâce à l’augmentation des ventes en Europe ou en Amérique, mais à cause de l’émergence des nouveaux marchés comme la Chine, l’Inde, la Russie ou le Moyen-Orient. Il se vend tout de meme un peu plus de 300 Ferrari en france chaque année...
Cette évolution explique le renfort d’une nouvelle série qui vient se ranger auprès des F430, 612 Scaglietti et 599 GTB Fiorano. La California est animée par un moteur huit cylindres : les puristes qui ont en mémoire le V12 de la 250 GT seront indignés. Il s’agit cependant d’un 4,3 litres plein de tonus qui développe 460 ch à 7 500 tr/min et qui est associé à une boîte sept rapports . Cette mécanique présente la particularité d’être alimentée par injection directe. Contrairement à la F430 dans laquelle le moteur V8 est placé au centre du châssis, en avant de l’axe des roues arrière, la mécanique rugit ici sous le capot avant.
Plus déroutant encore, le style. D’abord parce que la Ferrari California est un coupé transformable en cabriolet, le premier proposé par Ferrari ; une solution moins radicale que le « vrai » cabriolet F430 avec une capote en toile. Ensuite parce que les choix esthétiques ont dicté un traitement délicieusement maniéré. Pininfarina demeure le fidèle complice de Ferrari, malgré la présence d’un studio de création au sein même de l’usine, à Maranello, animé par Donato Coco débauché de chez Citroën (!) en 2005.
Les nouveaux marchés réclament des formes plus baroques, plus expressives, plus émotionnelles, rejettent les styles trop épurés. Le style de la California emploie donc un vocabulaire plus sensuel, la carrosserie est sculptée comme un corps musclé, avec des hanches marquées, des galbes suggestifs et une poupe rebondie. La Ferrari California révèle une exquise sophistication dans chacun de ses plis, dans le détail de chaque accessoire intégrant les exigences aérodynamiques.